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Texte à méditer :  Deviens ce que tu es.
  
Pindare
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Hors des sentiers battus
Désir et besoin dans la pensée socio-économique

  "Un riche ne consomme pas plus de nourriture que le plus pauvre de ses voisins. Elle peut être fort différente quant à la qualité, et exiger beaucoup plus de travail et d'art pour la choisir et l'apprêter; mais quant à la quantité, il n'y a presque aucune différence. Comparez, au contraire, le vaste palais et la nombreuse garde-robe de l'un avec la cabane de l'autre, et le peu de guenilles qui le couvrent, et vous trouverez que, quant au vêtement, au logement et au mobilier, la différence est presque tout aussi grande en quantité qu'elle l'est en qualité. Dans tout homme, l'appétit [desire] pour la nourriture est borné par l'étroite capacité de son estomac ; mais on ne saurait mettre de bornes déterminées au désir des commodités et orne­ments qu'on peut rassembler dans ses bâtiments, sa parure, ses équipages et son mobilier. C'est pourquoi ceux qui ont à leur disposition plus de nourriture qu'ils ne peuvent en consommer personnellement cherchent toujours à en échanger le surplus, ou, ce qui revient au même, le prix de ce surplus, pour se procurer des jouissances d'un autre genre. Quand on a donné aux besoins limités ce qu'ils exigent, tout le sur­plus est consacré à ces besoins du superflu, qui ne peuvent jamais être remplis et qui semblent n'avoir aucun terme."

 

Adam Smith, Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations, 1776, Livre 1er, chapitre XI, section 2, tr. fr. Romain Garnier.

 

  "The rich man consumes no more food than his poor neighbour. In quality it may be very different, and to select and prepare it may require more labour and art; but in quantity it is very nearly the same. But compare the spacious palace and great wardrobe of the one, with the hovel and the few rags of the other, and you will be sensible that the difference between their clothing, lodging, and household furniture, is almost as great in quantity as it is in quality. The desire of food is limited in every man by the narrow capacity of the human stomach; but the desire of the conveniencies and ornaments of building, dress, equipage, and household furniture, seems to have no limit or certain boundary. Those, therefore, who have the command of more food than they themselves can consume, are always willing to exchange the surplus, or, what is the same thing, the price of it, for gratifications of this other kind. What is over and above satisfying the limited desire, is given for the amusement of those desires which cannot be satisfied, but seem to be altogether endless."

 

Adam Smith, An inquiry into the nature and causes of the wealth of nations, 1776, Book I, chapter XI, part 2, Bantam Classics, 2003, p. 224.



  "Les objets de consommation sont de nécessité, ou de luxe.
  Par objets de nécessité, j'entends non seulement les denrées qui sont indispensablement nécessaires au soutien de la vie, mais encore toutes les choses dont les honnêtes gens, même de la dernière classe du peuple, ne sauraient décemment manquer, selon les usages du pays. Par exemple, une chemise, strictement parlant, n'est pas une chose nécessaire aux besoins de la vie. Les Grecs et les Romains vivaient, je pense, très commodément, quoiqu'ils n'eussent pas de linge. Mais aujourd'hui, dans presque toute l'Europe, un ouvrier à la journée, tant soit peu honnête, aurait honte de se montrer sans porter une chemise ; et un tel dénuement annoncerait en lui cet état de misère ignominieuse dans lequel on ne peut guère tomber que par la plus mauvaise conduite. D'après les usages reçus, les souliers sont devenus de même, en Angleterre, un des besoins nécessaires de la vie. La personne la plus pauvre de l'un et de l'autre sexe, pour peu qu'elle respecte les bienséances, rougirait de se montrer en public sans souliers. En Écosse aussi, d'après les usages, cette chaussure est un des premiers besoins de la vie pour la dernière classe, mais parmi les hommes seulement ; il n'en est pas de même, dans cette classe, pour les femmes, qui peuvent très bien aller nu-pieds sans qu'on en ait plus mauvaise opinion d'elles. En France, les souliers ne sont d'absolue nécessité ni pour les hommes ni pour les femmes ; les gens de la dernière classe du peuple, tant d'hommes que femmes, y paraissent publiquement, sans s'avilir, tantôt en sabots, tantôt pieds nus. Ainsi, par les choses nécessaires à la vie, j'entends non seulement ce que la nature, mais encore ce que les règles convenues de décence et d'honnêteté ont rendu nécessaire aux dernières classes du peuple. Toutes les autres choses, je les appelle luxe, sans néanmoins vouloir, par cette dénomination, jeter le moindre degré de blâme sur l'usage modéré qu'on peut en faire. La bière et l'ale, par exemple, dans la Grande-Bretagne, et le vin, même dans les pays vignobles, je les appelle des choses de luxe. Un homme, de quelque classe qu'il soit, peut s'abstenir totalement de ces liqueurs, sans s'exposer pour cela au moindre reproche. La nature n'en a pas fait des choses nécessaires au soutien de la vie, et l'usage n'a établi nulle part qu'il fût contre la décence de s'en passer."

 

Adam Smith, Recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations, 1776, Livre V, chapitre II, partie 2, article 4, § 2, tr. fr. Romain Garnier.

 

  "Consumable commodities are either necessaries or luxuries.
  By necessaries I understand not only the commodities which are indispensably necessary for the support of life, but whatever the custom of the country renders it indecent for creditable people, even of the lowest order, to be without. A linen shirt, for example, is, strictly speaking, not a necessary of life. The Greeks and Romans lived, I suppose, very comfortably though they had no linen. But in the present times, through the greater part of Europe, a creditable day-labourer would be ashamed to appear in public without a linen shirt, the want of which would be supposed to denote that disgraceful degree of poverty which, it is presumed, nobody can well fall into without extreme bad conduct. Custom, in the same manner, has rendered leather shoes a necessary of life in England. The poorest creditable person of either sex would be ashamed to appear in public without them. In Scotland, custom has rendered them a necessary of life to the lowest order of men; but not to the same order of women, who may, without any discredit, walk about barefooted. In France they are necessaries neither to men nor to women, the lowest rank of both sexes appearing there publicly, without any discredit, sometimes in wooden shoes, and sometimes barefooted. Under necessaries, therefore, I comprehend not only those things which nature, but those things which the established rules of decency have rendered necessary to the lowest rank of people. All other things I call luxuries, without meaning by this appellation to throw the smallest degree of reproach upon the temperate use of them. Beer and ale, for example, in Great Britain, and wine, even in the wine countries, I call luxuries. A man of any rank may, without any reproach, abstain totally from tasting such liquors. Nature does not render them necessary for the support of life, and custom nowhere renders it indecent to live without them."

 

Adam Smith, An inquiry into the nature and causes of the wealth of nations, 1776, Book V, chapter II, part 2, article IV, Bantam Classics, 2003, p. 1102-1104.



  "Par besoins réels, j'entends ceux à la satisfaction desquels tiennent notre existence, notre santé et le contentement de la plupart des hommes : ils sont opposés à ceux qui proviennent d'une sensualité recherchée, de l'opinion et du caprice. Ainsi les consommations d'une nation seront, en général, bien entendues, si l'on y trouve des choses commodes plutôt que splendides : beaucoup de linge et peu de dentelles ; des aliments abondants et sains, en place de ragoûts recherchés ; de bons habits et point de broderies. Chez une telle nation, les établissements publics auront peu de faste et beaucoup d'utilité ; les indigents n'y verront pas des hôpitaux somptueux, mais ils y trouveront des secours assurés ; les routes ne seront pas deux fois trop larges, mais les auberges seront bien tenues ; les villes n'offriront peut-être pas de si beaux palais, mais on y marchera en sûreté sur des trottoirs.
  Le luxe d'ostentation ne procure qu'une satisfaction creuse ; le luxe de commodité, si je peux m'exprimer ainsi, procure une satisfaction réelle. Ce dernier est moins cher, et par conséquent il consomme moins. L'autre ne connaît point de bornes ; il s’accroît chez un particulier sans autre motif, sinon qu'il s’accroît chez un autre ; il peut aller ainsi progressivement à l'infini. « L'orgueil, a dit Franklin, est un mendiant qui crie aussi haut que le besoin, mais qui est infiniment plus insatiable. »
  Satisfaction pour satisfaction, la société, considérée en masse, trouve mieux son compte à celle qui pourvoit à des besoins réels, qu'à celle qui contente des besoins factices. Que les besoins d'un riche fassent produire et consommer des parfums exquis, et que les besoins d'un pauvre fassent produire un habit chaud dans une saison rigoureuse : dans l'un et l'autre cas, les besoins auront provoqué la production et la consommation de deux richesses qu'on peut supposer égales ; mais dans le premier cas, la société aura obtenu en échange un plaisir futile, court, à peine senti ; et dans le second, un bien-être solide, durable, précieux."

 

Jean-Baptiste Say, Traité d'économie politique, 1803, Livre III, chapitre 4, O. Zeller, 1841, p. 448-449.


 

  "On a défini le luxe l’usage du superflu.
  J'avoue que je ne sais pas distinguer le superflu du nécessaire. De même que les couleurs de l'arc-en-ciel, ils se lient et se fondent l'un dans l'autre par des nuances imperceptibles. Les goûts, l'éducation, les tempéraments, les santés, établissent des différences infinies entre tous les degrés d'utilité et de besoins ; et il est impossible de se servir, dans un sens absolu, de deux mots qui ne peuvent jamais avoir qu'une valeur relative.

  Le nécessaire et le superflu varient même selon les différents états où se trouve la société. Ainsi, quoique à la rigueur un homme pût vivre en n'ayant que des racines pour se nourrir, une peau pour se vêtir et une hutte pour s'abriter, néanmoins, dans l'état actuel de nos sociétés, on ne peut pas, dans nos climats, considérer comme des superfluités du pain et de la viande, un habit d'étoffe de laine et le logement dans une maison. Par la même raison, le nécessaire et le superflu varient selon la fortune des particuliers ; ce qui est nécessaire dans une ville et dans une certaine profession, serait du superflu à la campagne et dans une position différente. On ne peut donc pas tracer la ligne qui sépare le superflu du nécessaire. Smith, qui la place un peu plus haut que Steuart, puisqu'il appelle choses nécessaires (necessities), non seulement ce que la nature, mais encore ce que les règles convenues de décence et d'honnêteté ont rendu nécessaire aux dernières classes du peuple ; Smith, dis-je, a eu tort de la fixer. Cette ligne est mobile de sa nature."

 

Jean-Baptiste Say, Traité d'économie politique, 1803, Livre III, chapitre 5, O. Zeller, 1841, p. 457-458.



  "On n'achète des produits qu'avec des produits, et le numéraire n'est que l'agent au moyen duquel l'échange s'effectue. Il peut être produit une trop grande quantité d'une certaine denrée, et il peut en résulter une surabondance telle dans le marché, qu'on ne puisse en retirer ce qu'elle a coûté ; mais ce trop plein ne saurait avoir lieu pour toutes les denrées. La deman­de de blé est bornée par le nombre de bouches qui doivent le manger ; celle des souliers et des habits, par le nombre des personnes qui doivent les porter ; mais quoique une société, ou partie d'une société, puisse avoir autant de blé et autant de chapeaux et de souliers qu'elle peut ou qu'elle veut en consommer, on ne saurait en dire autant de tout produit de la nature ou de l'art. Bien des personnes consommeraient plus de vin, si elles avaient le moyen de s'en procurer. D'autres, ayant assez de vin pour leur consommation, voudraient augmenter la quantité de leurs meubles, ou en avoir de plus beaux. D'autres pourraient vouloir embellir leurs campagnes, ou donner plus de splendeur à leurs maisons. Le désir de ces jouissances est inné dans l'homme ; il ne faut qu'en avoir les moyens ; et un accroissement de production peut, seul, fournir ces moyens. Avec des subsistances et des denrées de première nécessité à ma disposition, je ne manquerai pas longtemps d'ouvriers dont le travail puisse me procurer les objets qui pourront m'être plus utiles ou plus désirables."

 

David Ricardo, Des principes de l'économie et de l'impôt, 1817, chapitre VIII, tr. fr Francisco Solano Constancio et Paul Henri Alcide Fonteyraud, in Œuvres complètes de David RicardoGuillaumin, 1847, p. 271.

 

  "Productions are always bought by productions, or by services; money is only the medium by which the exchange is effected. Too much of a particular commodity may be produced, of which there may be such a glut in the market, as not to repay the capital expended on it; but this cannot be the case with respect to all commodities; the demand for corn is limited by the mouths which are to eat it, for shoes and coats by the persons who are to wear them; but though a community, or a part of a community, may have as much corn, and as many hats and shoes, as it is able or may wish to consume, the same cannot be said of every commodity produced by nature or by art. Some would consume more wine, if they had the ability to procure it. Others having enough of wine, would wish to increase the quantity or improve the quality of their furniture. Others might wish to ornament their grounds, or to enlarge their houses. The wish to do all or some of these is implanted in every man's breast; nothing is required but the means, and nothing can afford the means, but an increase of production. If I had food and necessaries at my disposal, I should not be long in want of workmen who would put me in possession of some of the objects most useful or most desirable to me."

 

David Ricardo, On The Principles of Political Economy and Taxation, 1817, chapter XXI.



  "La contrainte qu'exerce sur l'individu son appartenance à la « crème de la société » et le désir de la maintenir ne sont pas moins impératifs, moins aptes à façonner le comportement d'un homme que l'obligation où il se trouve de s'assurer un moyen de subsistance. Les deux motivations enchaînent par un double lien les membres des élites. Le premier lien, à savoir la soif de prestige, la crainte de la déchéance, la lutte contre le nivellement des distinctions sociales, ne peut s'expliquer par l'autre lien, par le désir masqué de s'enrichir, de s'assurer des avantages économiques, comme on l'observe parfois dans les couches et familles qu'une pression extérieure considérable accule à la famine et à la misère. Le lien que constitue le désir de jouir d'un certain prestige social se rencontre comme premier lien uniquement chez les membres de couches dont les revenus se situent en temps normal à un niveau assez élevé au-dessus du minimum vital. L'activité économique de ces couches n'est pas motivée par le simple désir de manger à leur faim, mais par la prétention de maintenir un niveau de vie en accord avec les exigences de la tradition et du prestige de la couche en question. C'est ce phénomène qui explique pourquoi dans les couches supérieures, le contrôle de l'émotivité et surtout la formation d'autocontraintes se rencontrent bien plus souvent que dans les couches inférieures correspondantes : la peur de perdre tout ou partie du prestige social est un des moteurs les plus puissants de la transformation de contraintes extérieures en autocontraintes."

 

Norbert Elias, La Dynamique de l'Occident, 1939, 2e partie, chapitre III, tr. fr. Pierre Kamnitzer, Pocket, 2003, p. 231-232.



  "Le développement des profits suppose de réveiller sans cesse notre appétit de consommation. Car on gagne moins d'argent en satisfaisant un besoin qu'en l'entretenant par l'obsolescence accélérée des biens.
  Ainsi, quel que soit le nombre de téléviseurs, de téléphones portables et de voitures dont nous disposons, il nous « manquera » toujours le modèle dernier cri. On fait souvent semblant de croire que la dernière nouveauté satisfera mieux nos besoins, car personne n'aime souffrir sans raison, et parce que l'utilité est le meilleur alibi pour justifier notre anxiété d'être privé du futile et de l'accessoire. Mais au fond, nous savons parfaitement que bien des « nouveautés » ne sont que de futures ex-nouveautés, qui rejoindront bientôt dans nos placards le cimetière déjà encombré de nos envies fugaces.
  Notre seule excuse est la pression à laquelle nous soumettent les marchands de nouveautés. À peine avez-vous consommé le plaisir de déballer votre nouvel ordinateur qu'il vous faut souffrir les publicités vantant des processeurs encore plus rapides, des cartes vidéo deux fois plus puissantes, des écrans plus plats, des souris plus craquantes. Que faire ? Souffrir en silence ? Commencer à économiser aussitôt pour racheter un ordinateur l'an prochain ? Ne rien acheter et ne pas profiter du progrès technique pour être sûr de n'en pas souffrir ? Il serait plus sage de simplement vous demander de quoi vous avez vraiment besoin, au lieu de chercher l'inaccessible moyen d'obtenir tout ce que vous n'avez pas."

 

Jacques Généreux, Les Vraies lois de l'économie, 2002, Seuil, p. 270-271.


 

 "L'espoir de voir les besoins des hommes entièrement satisfaits à un moment donné, de sorte qu'il n'y ait plus de place pour la malheur, fut peut-être une illusion de tout temps, mais aujourd'hui, il nous apparaît plus que jamais d'une naïveté pitoyable et d'un irréalisme flagrant. Nous – à la fois consommateurs et fournisseurs de biens « satisfaisant-des-besoins » – nous attendrions plutôt à ce que les besoins des hommes continuent d'augmenter irrémédiablement, et ce plus vite que leur satisfaction. La frontière sacro-sainte entre les besoins « véritables » ou légitimes et les pseudo-besoins « faux » ou répréhensibles (c'est-à-dire, besoins de choses dont on pourrait bien se passer, sauf par orgueil et désir morbide de lucre, de luxure et d'ostentation) n'a absolument pas été effacée. Tous les besoins, les actuels, ceux que nous connaissons, et les futurs, ceux que nous ne pouvons même pas imaginer, sont véritables, et les inimaginables pas moins que ceux que nous ressentons en ce moment.
  Les « besoins » augmentent, renforcés par des occasions de consommation. Les « besoins » sont des désirs provoqués par l'exposition à ces occasions. Le devoir auto-proclamé de la publicité à informer les consommateurs potentiels des nouveaux produits qu'ils n'auraient pas désirés auparavant puisqu'ils ne savaient pas qu'ils existaient ; produits qu'ils ne désireraient pas maintenant si on ne les tentait pas ni ne les séduisait. La majeure partie des sommes allouées aux budgets publicitaires passe dans l'information sur des produits promettant de satisfaire des besoins que les consommateurs autrement n'auraient pas conscience d'éprouver. La publicité a pour but de créer de nouveaux désirs et de modifier et réorienter les désirs existants ; or l'effet sommaire de l'exposition à la publicité n'est jamais de permettre à ces désirs – désirs de choses non encore possédées et de sensations non encore vécues – de s'adoucir et de s'apaiser.

  Le désir de tout produit spécifique n'est pas censé durer ; on ne ferait que perdre de l'argent à le maintenir en vie longtemps. Rien n'accroît les désirs aussi immanquablement et rapidement que les « nouvelles » formules, les formules « améliorées », et, mieux encore, les formules « nouvelles et améliorées »."

 

Zygmunt Bauman, La Société assiégée, 2002, IV, tr. fr. Christophe Rosson, Hachette Littératures, coll. Pluriel, p. 203-204.

 

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Date de création : 24/09/2019 @ 07:28
Dernière modification : 16/01/2024 @ 18:15
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