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I. Quel est le but de la science ? (ce qui motive les scientifiques)
- À quoi servent les sciences ?
- Pourquoi vouloir la science ?
- Faut-il attendre de la science qu'elle nous rassure ?
1. Décrire et expliquer la réalité (connaître le monde)
- Quelle réalité la science décrit-elle ?
- Le savoir scientifique est-il le reflet de la réalité ?
- Le travail de la science consiste-t-il à découvrir la réalité ?
- L'activité scientifique a-t-elle seulement pour but l'explication des phénomènes ?
- La science a-t-elle pour but d'expliquer les apparences ?
- La science se limite-t-elle à constater les faits ?
a. Connaître le comment, mais non le pourquoi
b. Établir des lois générales ou universelles
2. Chercher la vérité (science et vérité)
- La vérité scientifique est-elle hors des atteintes du doute ?
- Les sciences satisfont-elles notre désir de vérité ?
- Les sciences progressent-elles vers la vérité ?
- Les connaissances scientifiques sont-elles vraies ?
- Y a-t-il une contradiction entre l'évolution des sciences et leur prétention à la vérité ?
- N'y a-t-il de vérités que dans la Science ?
- La science a-t-elle le monopole de la vérité ?
- N'est-il pas contradictoire de dire d'une connaissance scientifique qu'elle est à la fois vraie et provisoire ?
- Le développement des sciences conduit-il à penser qu'il n'existe aucune vérité définitivement établie ?
- La succession des théories scientifiques permet-elle de concevoir le progrès de la science comme une marche continue vers le vrai ?
- La connaissance scientifique peut-elle seule atteindre la vérité ?
- La science peut-elle satisfaire notre besoin de vérité ?
- Toute vérité scientifique est-elle « un acquis pour toujours » ?
- Qu'est-ce qui fait la vérité d'une idée scientifique ?
3. Répondre à la question "Qu'est-ce que l'homme ?"
- La science apporte-t-elle une réponse suffisante à la question : « qu'est-ce que l'homme » ?
II. La science et son objet ; sciences de la nature et sciences de l'homme
- Faut-il dire la science ou les sciences ?
- Pourquoi y a-t-il des sciences et non pas une science ?
- Doit-on parler de la science ou des sciences ?
a. Il n'y a pas de différence essentielle entre sciences de la nature et sciences de l'homme
b. L'étude du monde naturel n'est pas séparable de l'étude du monde social
c. Physique et biologie
d. La hiérarchisation des sciences
3. Les sciences humaines
a. Conditions de possibilité des sciences de l'homme ; les sciences de la nature comme modèle
- L'homme peut-il être l'objet d'une science particulière ?
- Quelles sont les conditions d'une science de l'histoire ?
- Le recours à des techniques scientifiques suffit-il à donner un caractère vraiment scientifique aux sciences de l'homme ?
- Les sciences de l'homme peuvent-elles se dispenser de l'expérimentation ?
- De quel homme fait-on la science ?
- Peut-on sans se contredire, parler de « science de l'homme » ?
- Quelle idée de l'homme suppose la constitution des sciences humaines ?
- Est-ce au même titre que l'on parle de sciences de la nature et de sciences de l'homme ?
- Les sciences de l'homme peuvent-elles être expérimentales ?
- Le recours à des techniques scientifiques suffit-il à donner un caractère vraiment scientifique aux sciences de l'homme ?
- En quel sens les sciences de l'homme sont-elles des sciences ?
- L'historien est-il homme de science ?
- Les sciences de l'homme sont-elles vraiment des sciences ?
b. Seul l'homme peut faire objet de science
c. Les sciences humaines s'intéressent aux formes symboliques
d. Les limites des sciences humaines
- La science apporte-t-elle une réponse suffisante à la question : « qu'est-ce que l'homme » ?
- Les sciences humaines permettent-elles de connaître l'homme ?
- Les sciences de l'homme suffisent-elles à connaître l'homme ?
- Peut-il y avoir une science de l'inconscient ?
- Qu'est-ce que comprendre ?
- La possibilité d'une science de l'homme implique-t-elle la négation de la liberté ?
- L'explication scientifique de l'homme est-elle incompatible avec l'affirmation de la liberté humaine ?
- Les sciences humaines pensent-elles l'homme comme un être prévisible ?
i. Les implications des sciences humaines
- Les sciences humaines aident-elles l'homme à devenir plus humain ?
- La constitution des sciences humaines annonce-t-elle la fin de la philosophie ?
- Les sciences humaines donnent-elles un pouvoir sur l'homme ?
4. Les sciences de l'esprit
5. Les sciences de la nature
a. Les lois de la nature ou lois scientifiques
- Peut-on affirmer à la fois que l'homme est libre et que la nature est soumise à des lois ?
- La succession des théories scientifiques contredit-elle l'idée d'un ordre permanent de la nature ?
- Que veut-on dire en parlant de lois de la nature ?
- Le mot « loi » a-t-il le même sens selon qu'on parle des lois de la cité ou des lois de la nature ?
- Y a-t-il du désordre dans la nature ?
b. Science et réalité
- Objet réel, objet scientifique.
- Notre connaissance du réel se limite-t-elle au savoir scientifique ?
- Le travail de la science consiste-t-il à découvrir la réalité ?
- Les sciences permettent-elles de connaître la réalité même ?
- Quelle réalité la science décrit-elle ?
- Le savoir scientifique est-il le reflet de la réalité ?
c. Mesure et instruments de mesure en science
- La mesure : pourquoi est-il difficile de mesurer et tout peut-il l'être ?
- Partagez-vous l'affirmation d'Alain selon laquelle « à mesure qu'un instrument est plus puissant il faut penser davantage pour en tirer quelque chose. Le microscope étourdit l'ignorant, il ne l'instruit point » ?
- Les instruments de mesure du temps nous font-ils saisir ce qu'est le temps ?
d. L'observation en science
- La connaissance scientifique ne repose-t-elle que sur l'observation ?
e. Déduction et induction en science
- La démarche déductive
- La démarche inductive
7. Logique et mathématiques
- La logique est-elle une science ?
- Pourquoi dit-on des mathématiques qu'elles sont des sciences exactes ?
- Les mathématiques ne sont-elles qu'un instrument des autres sciences ?
- La politique est-elle une science ?
- La politique est-elle une science ou un art ?
- Faut-il souhaiter que la politique soit une science ?
- La connaissance scientifique n'est-elle qu'une croyance argumentée ?
- La pensée scientifique est-elle compatible avec l'idée de hasard ?
- Pourquoi le langage scientifique n'est-il pas le langage commun ?
- La science est-elle rationnelle ?
- La science se fonde-t-elle nécessairement sur la raison ?
- En quel sens la science instruit-elle la raison ?
2. Qu'est-ce qu'une théorie scientifique ?
- Quand une connaissance peut-elle être dite scientifique ?
- À quoi reconnaître qu'une science est une science ?
- À quoi reconnaît-on qu'une découverte est scientifique ?
- Que désigne-t-on par le qualificatif « scientifique » ?
- À quoi reconnaît-on une fausse science ?
- À quelles conditions une démarche est-elle scientifique ?
- Y a-t-il des critères qui nous permettent de nous assurer du caractère scientifique d'un discours ou d'une pratique ?
- La recherche scientifique peut-elle se passer de théorie ?
- La démonstration est-elle une condition de la science ?
- Un fait unique et qui ne se répète pas peut-il être l'objet d'une science ?
a. La méthode scientifique
- Qu'est-ce qu'une méthode ?
- La méthode est-elle nécessaire aux sciences ?
- La recherche d'une vérité est-elle recherche d'une méthode ?
-Toute production de savoir requiert-elle une méthode ?
- Y a-t-il une méthode scientifique ?
- Les sciences de l'homme doivent-elles s'inspirer des méthodes utilisées dans les sciences de la nature ?
- Les sciences humaines peuvent-elles adopter les méthodes des sciences de la nature ?
b. L'exigence de testabilité/falsifiabilité
c. La notion de causalité
d. Le postulat déterministe
- La notion de finalité a-t-elle de l'intérêt pour le savant ?
- La science est-elle nécessairement réductionniste ?
- L'espace est-il notre création ?
4. L'esprit scientifique
- L'esprit scientifique peut-il, selon vous, avoir une influence sur nos comportements moraux ?
5. L'objectivité scientifique
- En quoi consiste l'objectivité scientifique ?
- L'objectivité est-elle donnée dans l'expérience sensible ou résulte-t-elle des progrès de la recherche scientifique ?
- Si la science ne peut prendre appui sur la subjectivité individuelle, doit-elle en appeler au consensus social ?
- La recherche de l'objectivité dans la connaissance scientifique exclut-elle l'appel à l'imagination ?
- L'objectivité de la science est-elle moralement neutre ?
a. La construction de l'objet scientifique
- Objet réel, objet scientifique.
- La science construit-elle son objet ?
- Que signifient, pour les scientifiques, « objet » et « objectivité » ?
b. Le fait scientifique
- Qu'est-ce qu'un fait scientifique ?
- La référence aux faits scientifiques garantit-elle à elle seule l'objectivité de la connaissance scientifique ?- Un fait unique et qui ne se répète pas peut-il être l'objet d'une science ?
- Quels sont les obstacles qui s'opposent au développement de la connaissance scientifique ?
- L'opinion doit-elle subsister à côté de la science ?
- Si l'erreur est humaine, comment la science est-elle possible ?
- Le point de vue de la conscience immédiate et celui de la science sont-ils incompatibles ?
- Toute connaissance autre que scientifique doit-elle être considérée comme une illusion ?
- L'erreur peut-elle jouer un rôle dans la connaissance scientifique ?
- La connaissance commune est-elle pour la connaissance scientifique un point d'appui ou un obstacle ?
- La connaissance scientifique dissipe-t-elle la superstition ?
- La recherche de l'objectivité dans la connaissance scientifique exclut-elle l'appel à l'imagination ?
- La science se fait-elle contre la sensation ?
- La démarche scientifique exclut-elle tout recours à l'imagination?
c. L'anthropomorphisme et l'anthropocentrisme
d. Le scientisme
7. De la connaissance/expérience/perception commune à la connaissance scientifique
La démarche inductive
- La perception est-elle déjà une science ?
- Les sciences ont-elles leur point de départ dans l'expérience ?
- De la perception au concept scientifique y a-t-il continuité ou rupture ?
- La connaissance commune est-elle pour la connaissance scientifique un point d'appui ou un obstacle ?
- L'expérience joue-t-elle le même rôle dans les sciences et dans la conduite de la vie ?
- Peut-on dire que la connaissance scientifique est la connaissance commune devenue plus rigoureuse ?
8. Y a-t-il un privilège de la connaissance scientifique ?
- Objet réel, objet scientifique.
- La connaissance scientifique peut-elle seule atteindre la vérité ?
- La science peut-elle satisfaire notre besoin de vérité ?
- N'y a-t-il de vérités que dans la Science ?
- N'y a-t-il de rationalité que scientifique ?
- Notre connaissance du réel se limite-t-elle au savoir scientifique ?
- La connaissance scientifique doit-elle être le seul mode de connaissance faisant autorité ?
- Toute connaissance autre que scientifique doit-elle être considérée comme une illusion ?
- Y a-t-il un privilège de la vérité scientifique ?
- N'y a-t-il de connaissance que scientifique ?
- Connaître, est-ce le privilège de la science ?
9. La science en action ; la sociologie de la science
a. La figure du savant
- Autrefois, il y avait des savants ; de nos jours il n'y a que des chercheurs. Simple précaution de langage ou modification sensible dans la conception de la science ?
b. La communauté scientifique
- Une communauté scientifique n'est-elle qu'une communauté d'intérêts ?
c. L'activité scientifique concrète
- L'activité scientifique a-t-elle seulement pour but l'explication des phénomènes ?
1. La nature du progrès en science
- Que signifie l'idée de progrès dans les sciences ?
- Les sciences progressent-elles vers la vérité ?
- La succession des théories scientifiques permet-elle de concevoir le progrès de la science comme une marche continue vers le vrai ?
- Peut-on dire que les progrès de la connaissance scientifique approfondissent notre ignorance ?
a. La conception continuiste du progrès scientifique : le progrès comme accumulation de connaissances
b. D'un cadre théorique à l'autre : la conception révolutionnaire du progrès scientifique
c. La quête d'unité ; la dimension synthétique du progrès scientifique
- La synthèse newtonienne
d. Le progrès scientifique comparé au progrès artistique
2. Les causes du progrès scientifique
- Pour progresser, la science est-elle obligée de rompre avec son passé ?
- Les progrès de la connaissance scientifique sont-ils toujours dus à la pensée logique ?
- Le progrès scientifique est-il lié à l'évolution des techniques ?
a. L'accumulation des connaissances
b. La spécialisation scientifique ?
c. Le travail collectif
d. Le rôle de l'analogie en science
- Faut-il considérer l'homme de science comme responsable de l'usage que l'on fait de ses découvertes ?
- Le travail de la science consiste-t-il à découvrir la réalité ?
- A quoi reconnaît-on qu'une découverte est scientifique ?
- On dit généralement que l'artiste crée et que le savant découvre. Cette opposition vous paraît-elle fondée ?
5. La science peut-elle avoir une histoire ?
- N'est-il pas contradictoire de dire d'une connaissance scientifique qu'elle est à la fois vraie et provisoire ?
- Peut-on dire d'une théorie scientifique qu'elle est à la fois vraie et provisoire ?
- Les connaissances scientifiques peuvent-elles être à la fois vraies et provisoires ?
- Y a-t-il contradiction entre la prétention des sciences à la vérité et le fait qu'elles ont une histoire ?
- Le développement des sciences conduit-il à penser qu'il n'existe aucune vérité définitivement établie ?
- La succession des théories scientifiques permet-elle de concevoir le progrès de la science comme une marche continue vers le vrai ?
- Toute vérité scientifique est-elle « un acquis pour toujours » ?
- Le renouvellement des théories scientifiques conduit-il à douter de la certitude des sciences ?
- Peut-on dire des vérités scientifiques qu'elles sont provisoires ?
- Autrefois, il y avait des savants ; de nos jours il n'y a que des chercheurs. Simple précaution de langage ou modification sensible dans la conception de la science ?
6. Le concept de "révolution scientifique"
- Dans quelle mesure peut-on parler de révolution scientifique ?
- Quand et pourquoi peut-on parler de révolution dans la pensée scientifique ?
a. La révolution copernico-galiléenne
7. Les limites du progrès scientifique
- Le progrès de la science fait-il celui de la conscience ?
- D'où vient que le progrès scientifique laisse subsister des croyances irrationnelles ?
8. Les raisons du succès d'une théorie scientifique
- Les sciences permettent-elles de connaître la réalité même ?
- La recherche scientifique a-t-elle des limites ?
- Le désir de savoir est-il comblé par la science ?
- Faut-il attendre de la science qu'elle ait réponse à tout ?
- Existe-t-il des limites à la connaissance scientifique d'un être vivant ?
- Y a-t-il des limites à la connaissance scientifique ?
- Est-il possible de définir la réalité humaine de façon exclusivement scientifique ?
- La science peut-elle résoudre les problèmes politiques ?
- La science suffit-elle à cultiver l'esprit ?
- Les connaissances scientifiques peuvent-elles servir à lutter contre le fanatisme ?
- Faut-il renoncer à s'interroger sur ce qui est hors de portée de la connaissance scientifique ?
- La science nous rend-elle plus capables d'être libres ?
- La science peut-elle se comprendre elle-même ?
- La Science permet-elle de tout comprendre ?
- Peut-il y avoir une science de l'inconscient ?
- Une théorie scientifique doit-elle se prémunir contre toute critique ?
- La science ne fournit-elle que des certitudes ?
- À défaut de certitude, une science du probable peut-elle suffire ?
- La vérité scientifique est-elle hors des atteintes du doute ?
VI. La science et ses implications
1. La dimension sociale de la science (la science comme institution sociale ; l'influence sociale de et sur la science)
- La science peut-elle échapper à tout conditionnement social ?
a. La science comme arme de critique sociale
2. La dimension éthique de la science
a. La valeur de la science
- Quelles sont la nature et la valeur de la croyance en la science ?
- Peut-on mesurer la valeur des sciences à leur utilité ?
- L'art est-il moins nécessaire que la science ?
b. La science est-elle éthiquement neutre ?
- L'objectivité de la science est-elle moralement neutre ?
- La recherche scientifique peut-elle être désintéressée ?
- Une communauté scientifique n'est-elle qu'une communauté d'intérêts ?
c. Les conséquences morales de la science
- En quel sens la connaissance scientifique peut-elle être un désenchantement du monde ?
- Que pensez-vous de cette remarque de Rostand : « La science a fait des hommes des Dieux avant qu'ils ne deviennent des hommes. »
- La science rend-elle l'homme plus responsable ?
d. La science soumise à la morale
- En quel sens doit-on soumettre la science à la morale ?
- Toutes les expériences scientifiques sont-elles légitimes ?
- La morale a-t-elle un rôle à jouer dans les sciences ?
- Faut-il considérer l'homme de science comme responsable de l'usage que l'on fait de ses découvertes ?
- La morale a-t-elle un rôle à jouer dans les sciences ?
e. La science comme fondement de la morale
- Le progrès de la science fait-il celui de la conscience ?
- La science peut-elle nous apprendre nos devoirs ?
- L'esprit scientifique peut-il, selon vous, avoir une influence sur nos comportements moraux ?
f. Science et bonheur
- La science peut-elle tenir lieu de philosophie ?
- Quelle fonction attribuer à la connaissance scientifique dans l'entreprise philosophique ?
- Y a-t-il une place pour la philosophie dans une société qui accorde toute sa confiance à la raison scientifique et à la réussite technique ?
- Quelle place doit avoir la réflexion philosophique dans la démarche scientifique ?
- Peut-on dire que la science fait surgir de nouveaux problèmes philosophiques ?
- Vous semble-t-il légitime de résumer le rapport de la science et de la philosophie en ces termes : « Si le propre de la science est d'unir sans diviser, la philosophie divise et elle ne peut unir qu'en divisant. » ?
a. Science et métaphysique
- La science peut-elle se passer de métaphysique ?
- La science peut-elle se substituer à la religion ?
- Les progrès des sciences expérimentales vont-ils à l'encontre de la foi religieuse ?
- L'esprit scientifique et la foi religieuse sont-ils compatibles ?
VII. Science et technique
- L'efficacité technique suppose-t-elle nécessairement la connaissance scientifique ?
- Le progrès scientifique est-il lié à l'évolution des techniques ?
- La technique n'est-elle qu'une application des connaissances scientifiques ?
- La science et la technique peuvent-elles aider à résoudre les problèmes politiques ?
VIII. La science en rapport aux autres notions du programme
1. Science et raison
- La science est-elle rationnelle ?
- La science se fonde-t-elle nécessairement sur la raison ?
- En quel sens la science instruit-elle la raison ?
2. Science et langage
- La science apporte-t-elle à l'homme l'espoir de constituer un langage artificiel ?
3. Science et culture
a. La science et l'art
- L'art est-il moins nécessaire que la science ?
- On dit généralement que l'artiste crée et que le savant découvre. Cette opposition vous paraît-elle fondée ?
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