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Introduction
- L'histoire de l'humanité justifie t-elle une réflexion philosophique ?
- Est-ce le privilège de l'humanité que d'avoir une histoire ?
- Pensez-vous que l'homme est le seul être à avoir une histoire ?
- Une chose peut-elle avoir une histoire ?
- L'histoire de chacun dépend-elle de l'histoire de tous ?
- Ce qui est naturel échappe-t-il à l'histoire ?
Du temps cyclique au temps historique
I. La connaissance de l'histoire
1. L'objet de l'histoire
- L'histoire a-t-elle pour objet l'inactuel ?
a. Unicité et individualité en histoire
- L'histoire ne porte-t-elle que sur "ce que jamais on ne verra deux fois" ?
2. L'intérêt de l'histoire
- Peut-on être indifférent à l'histoire ?
- Pourquoi s'intéresser à l'histoire ?
- Pourquoi écrire l'histoire ?
- Pourquoi l'homme s'intéresse-t-il à son passé ?
- En quoi la connaissance de l'histoire présente-t-elle de l'intérêt ?
- Pourquoi l'humanité s'intéresse-t-elle à son passé ?
- Pourquoi cherchons-nous à comprendre les événements passés ?
- Pour quelles raisons l'homme s'intéresse t-il au passé ?
- Quelle est l'importance de l'histoire pour la connaissance de l'homme ?
- L'intérêt de l'histoire, est-ce d'abord de lutter contre l'oubli ?
- L'histoire est-elle la mémoire de l'humanité ?
- L'historien fait-il oeuvre pour le futur ?
- Le goût pour l'histoire est-il une manière de fuir le présent ?
- Peut-on dire que l'humanité se cherche à travers son histoire ?
3. Histoire et mémoire ; le devoir de mémoire
- L'histoire est-elle notre mémoire collective ?
- L'histoire est-elle la mémoire de l'humanité ?
- Faut-il distinguer histoire et mémoire ?
- En quel sens peut-on dire que la mémoire est une difficile conquête de l'homme ?
- Un homme sans mémoire peut-il être libre ?
- Un peuple sans mémoire peut-il être libre ?
- L'oubli est-il une déficience de la mémoire ?
- L'oubli n'est-il qu'une défaillance de la mémoire ?
- L'oubli n'est-il qu'un défaut de mémoire ?
- Commémorer le passé, est-ce le connaître ?
- Pourquoi y a-t-il un devoir de mémoire ?
- Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ?
4. Histoire et actualité
- Peut-on considérer le journal comme l'histoire du présent ?
- Le journaliste peut-il décider qu'un événement est historique ?
- L'histoire a-t-elle pour objet l'inactuel ?
- Y a-t-il une actualité du passé ?
- En quoi la mémoire nous libère-t-elle de l'emprise de l'actualité ?
5. Comprendre l'histoire : entre présent et passé
- Que pensez-vous de cette remarque d'un historien : « Toute histoire est histoire contemporaine » ?
- Peut-on être l'historien de son temps ?
- L'histoire peut-elle être contemporaine ?
- Peut-on écrire l'histoire du présent ?
- L'histoire a-t-elle pour objet l'inactuel ?
- Définissez-vous comme Lucien Febvre le travail de l'historien : "Il part du présent et c'est à travers lui toujours qu'il connaît, interprète le passé ?"
- Le travail de l'historien consiste-t-il à récrire le passé ?
- Est-ce pour conserver le passé qu'on s'intéresse à l'histoire ?
- Les contemporains d'un événement peuvent-ils en comprendre le sens ?
- Peut-on, au moment où il s'accomplit, avoir conscience de la dimension historique d'un événement ?
- Pour bien agir dans l'histoire, faut-il en comprendre le sens ?
6. L'objectivité (ou la subjectivité) en histoire
- L'objectivité de l'histoire suppose-t-elle l'impartialité de l'historien ?
- L'historien peut-il être objectif ?
- La subjectivité de l'historien fait-elle obstacle ou aide-t-elle à la compréhension du passé ?
- Le souci d'objectivité interdit-il à l'historien de porter des jugements ?
- Le rôle de l'historien est-il de juger ?
- L'historien peut-il être impartial ?
- Ne doit-on attendre de l'historien qu'un récit des faits tels qu'ils se sont passés ?
- L'histoire peut-elle se passer du récit ?
- L'histoire n'est-elle qu'un récit ?
- En histoire, connaissons-nous le passé ou le rêvons-nous ?
- Les concepts de l'historien sont-ils eux-mêmes historiques ?
- Quelles sont les conditions d'une science de l'histoire ?
a. Histoire et vérité
- En quel sens peut-on parler de vérité en histoire ?
b. L'histoire nous fait-elle revivre le passé ?
- L'histoire rend-elle présent ce qui est passé ?
7. Le fait historique
- Qu'est-ce qu'un fait historique ?
- Comment juger de l'importance d'un fait historique ?
- À quoi reconnaît-on qu'un événement est historique ?
8. L'histoire comme science, histoire et explication
- L'histoire est-elle une science ?
- Quelles sont les conditions d'une science de l'histoire ?
- L'histoire est-elle une science impossible ?
- Peut-on définir l'histoire comme la « science de ce qui n'arrive qu'une fois » ?
- Tout peut-il s'expliquer historiquement ?
- Le présent peut-il s'expliquer intégralement par l'histoire ?
- L'historien peut-il faire l'économie d'une philosophie de l'histoire ?
- Définissez-vous comme Lucien Febvre le travail de l'historien : "Il part du présent et c'est à travers lui toujours qu'il connaît, interprète le passé ?"
- Le travail de l'historien consiste-t-il à récrire le passé ?
- L'histoire enregistre-t-elle des faits ou recherche-t-elle des lois ?
- Y a t-il des lois de l'histoire ?
- Ce qui est imprévu était-il imprévisible ?
- Les événements historiques sont-ils, par nature, imprévisibles ?
- Le cours de l'histoire est-il prévisible ?
- Pourquoi écrit-on l'histoire ?
- L'histoire n'est-elle qu'un roman ?
- L'historien n'est-il que le romancier du passé ?
- Pourquoi n'a t-on jamais fini d'écrire l'histoire ?
- Peut-on écrire l'histoire du présent ?
- Le travail de l'historien consiste-t-il à récrire le passé ?
a. Le problème du négationnisme/révisionnisme
- L'histoire joue-t-elle pour nous le rôle d'une mythologie ?
- En quel sens peut-on dire de l'histoire qu'elle est un mythe ?
- Le progrès historique est-il un mythe ou une réalité ?
- L'historien n'est-il que le romancier du passé ?
- L'histoire n'est-elle qu'un roman ?
- Les historiens ne se bornent-ils pas à raconter des histoires ?
- Peut-on juger l'histoire ?
- Un jugement moral de l'histoire est-il possible ?
- Le souci d'objectivité interdit-il à l'historien de porter des jugements ?
- Le rôle de l'historien est-il de juger ?
II. Le sens de l'histoire
1. Du temps cyclique au temps historique
2. L'histoire a-t-elle un sens ?
a. La conception idéaliste de l'histoire
b. La conception matérialiste de l'histoire
- Faut-il croire que l'histoire a un sens ?
- Que veut-on dire quand on parle d'un sens de l'histoire ?
- Faut-il renoncer à l'idée que l'histoire a un sens ?
- Peut-on parler d'un sens de l'histoire comme on parle du sens d'un texte ?
- Pourquoi chercher un sens à l'histoire ?
- Notre existence a-t-elle un sens si l'histoire n'en a pas ?
3. L'ordre de l'histoire
- L'histoire n'est-elle que désordre ?
- L'histoire est-elle le règne du hasard ?
- L'historien doit-il faire une place à la notion de hasard ?
- L'histoire n'est-elle qu'une suite d'événements ?
- L'histoire ne serait-elle qu'une suite d'événements ?
- Est-on fondé à parler de « révolutions » dans l'histoire ?
- Y a t-il des lois de l'histoire ?
- L'histoire peut-elle tenir lieu de religion ?
- Peut-on comparer l'histoire de l'humanité à l'histoire d'un homme ?
- Quelles difficultés soulève l'idée d'une histoire commune de l'humanité ?
4. L'histoire se répète t-elle ?
- Peut-on dire que l'histoire se répète ?
- Est-il légitime de penser que l'histoire se répète ?
- Que signifie et vaut l'idée bien connue : « l'histoire est un éternel recommencement » ?
- Si l'histoire ne se répète pas, à quoi bon connaître le passé ?
- Y a-t-il du nouveau dans l'histoire ?
5. Histoire et progrès ; la question du mal en histoire
- Lorsque l'on dit : « L'histoire jugera », suppose-t-on que l'histoire acquitte ou condamne d'un point de vue moral ?
- L'histoire enseigne-t-elle la relativité des valeurs ?
- L'histoire peut-elle justifier le mal ?
- Y a-t-il dans l'histoire une part de tragique ?
- L'histoire est-elle tragique ?
a. L'idée de progrès
- Les hommes ont-il besoin de croire au progrès ?
- Les drames de l'histoire nient-ils l'idée de progrès ?
- Le déroulement de l'histoire manifeste-t-il un progrès de l'humanité ?
- Le progrès historique est-il un mythe ou une réalité ?
b. Les sociétés traditionnelles : sociétés sans histoire ?
- Qu'est-ce qu'une société traditionnelle ?
- Existe-t-il des sociétés sans histoire ?
c. Progrès contre tradition ?
- Faut-il pour être moderne, s'être libéré de l'emprise de la tradition ?
- La tradition est-elle un obstacle à la nouveauté ?
- La tradition est-elle un obstacle à la modernité ?
d. Les critiques du progrès
e. Le progrès de la pensée
- L'histoire peut-elle avoir une fin ?
- Peut-il y avoir une fin de l'histoire ?
- Peut-on parler de "fin de l'histoire" ?
7. La finalité en histoire ; l'idée de Providence
III. Les "leçons" de l'histoire
1. L'histoire comme juge des actions humaines
- Est-il juste de dire que l'histoire jugera ?
- L'histoire est-elle le tribunal du monde ?
- Lorsque l'on dit : « L'histoire jugera », suppose-t-on que l'histoire acquitte ou condamne d'un point de vue moral ?
2. Comprendre le passé pour comprendre le présent ; l'histoire comme guide
- La compréhension du présent exige-t-elle la connaissance du passé ?
- L'étude de l'histoire rend-elle notre présent compréhensible ?
- La connaissance du passé nous permet-elle de mieux comprendre le présent ?
- Le présent peut-il s'expliquer intégralement par l'histoire ?
- L'étude de l'histoire nous instruit-elle seulement du passé ?
- Pour bien agir dans l'histoire, faut-il en comprendre le sens ?
- Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ?
a. Pourquoi se référer au passé ?
3. Y a-t-il des leçons de l'histoire ?
- Y a t-il des leçons de l'histoire ?
- Faut-il enterrer le passé ?
- Les transformations historiques de la société contraignent-elles l'homme à changer les principes selon lesquels il doit diriger son action ?
- L'histoire nous rend-elle plus modeste ?
- Peut-on échapper au passé ?
- L'étude de l'histoire nous conduit-elle à désespérer de l'homme ?
- L'histoire peut-elle nous donner des leçons de morale ?
- L'action politique doit-elle être guidée par la connaissance de l'histoire ?
- L'histoire peut-elle servir l'action politique ?
- La connaissance de l'histoire permet-elle de changer le cours de l'histoire ?
4. L'oubli du passé : le présentisme
- Peut-on oublier le passé ?- Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ?
- Peut-on vivre sans histoire ?
IV. La liberté dans l'histoire
- Mieux connaître l'histoire permet-il à l'homme de mieux exercer sa liberté ?
- La connaissance de l'histoire nous rend-elle plus libres ?
- En quoi le fait de connaître l'histoire nous sert-il à ne pas la subir ?
- L'évolution historique obéit-elle au déterminisme ?
- Dans quelle mesure sommes-nous déterminés par l'histoire de notre société ?
- L'homme est-il le produit de son histoire ?
- L'histoire des hommes résulte-t-elle de leur liberté ou d'une nécessité ?
- Peut-on changer le cours de l'histoire ?
- La connaissance de l'histoire permet-elle de changer le cours de l'histoire ?
- Peut-on modifier le cours de l'histoire ?
- Les hommes peuvent-ils échapper à l'histoire ?
- L'homme subit-il son devenir historique ou peut-il le maîtriser ?
- Puis-je invoquer le cours de l'histoire pour m'excuser de n'avoir pas agi ?
- Est-il possible de dire à la fois et sans se contredire que l'homme est un produit de l'histoire et qu'il fait l'histoire ?
- L'histoire est-elle ce qui arrive à l'homme, ou ce qui arrive par l'homme ?
- Peut-on dire que les hommes font l'histoire ?
- Les hommes font-ils librement leur histoire ?
- Pourquoi l'humanité maîtrise-t-elle si mal son histoire ?
1. Les causes des actions humaines/événements historiques
- L'histoire est-elle le produit des désirs humains ?
2. Les grands hommes
- A-t-on raison de dire que les grands hommes font l'histoire ?
- Peut-on dire de certains hommes qu'ils font l'histoire ?
3. L'autorité/le poids de la tradition
- La tradition est-elle une valeur ?
- Faut-il pour être moderne, s'être libéré de l'emprise de la tradition ?
- La tradition est-elle un obstacle à la nouveauté ?
- La tradition fait-elle obstacle à la liberté ?
- La tradition est-elle toujours une forme d'asservissement à un passé révolu ?
- La connaissance du passé peut-elle faire obstacle aux rapprochements des peuples ?
- Pourquoi n'a t-on jamais fini d'écrire l'histoire ?